La femme « la plus laide du monde »: L’histoire tragique de Mary Ann Bevan

INSPIRATION

Mary Ann Bevan, une charmante Anglaise, a été contrainte de travailler dans des fêtes foraines et des cirques au début du XXe siècle lorsqu’on lui a diagnostiqué une acromégalie. Mary Ann Bevan, souvent surnommée la « femme la plus laide du monde », se produisait souvent dans des carnavals et d’autres événements de ce type pour joindre les deux bouts et subvenir aux besoins de sa famille. Mary Ann Bevan n’a pas toujours eu la réputation d’être « laide ». Elle est née dans la banlieue de Londres à la fin du XIXe siècle et, à l’époque, elle était traitée comme n’importe quelle autre jeune femme. Après avoir atteint l’âge adulte et avoir eu plusieurs enfants, tout a changé lorsqu’on lui a diagnostiqué une maladie défigurante rare. En quelques années seulement, le visage, les mains et les pieds de Mary Ann Bevan se sont déformés au point d’être méconnaissables, ne lui laissant d’autre choix que de compter sur son apparence pour joindre les deux bouts. Mary Ann Bevan, l’une des figures les plus tragiques d’une industrie du spectacle autrefois florissante, raconte comment elle est devenue la femme la plus laide du monde. Mary Ann Webster est née le 20 décembre 1874 dans une famille nombreuse de la banlieue de Londres. Elle grandit comme ses frères et sœurs, fait des études d’infirmière en 1894, puis épouse un fermier du nom de Thomas Bevan, originaire du Kent, en 1903. Les Bevan ont bien commencé leur vie de couple en ayant deux fils et deux filles en bonne santé.

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