La restauration d’une rareté est une tâche extrêmement difficile. Cependant, cela n’effraie pas certaines personnes. L’amour de la voiture soviétique peut surmonter toutes les vicissitudes du destin.
Une voiture de collection datant de 1950 est restée à l’air libre pendant de nombreuses années. En conséquence, son état laissait à désirer : la carrosserie était couverte de rouille, de nombreuses pièces avaient perdu leur intégrité.
Néanmoins, les documents ont été conservés en bon état, ce qui laisse espérer une restauration complète.
Peu à peu, les vieilles pièces ont été remplacées par des pièces d’origine trouvées dans différentes régions du pays, et parfois même à l’étranger. Les dépenses financières ont été considérables, mais la voiture a été restaurée non pas pour être vendue, mais « pour l’âme ».
Lorsque la carrosserie a été entièrement nettoyée et préparée, la peinture a commencé. Le choix s’est porté sur la couleur blanche – une variante inattendue, mais très réussie.
Vient ensuite l’étape minutieuse de l’assemblage. Une attention particulière a été accordée aux éléments chromés qui, au milieu du XXe siècle, faisaient partie intégrante des modèles les plus économiques.
Chaque élément a été soigneusement restauré et remis à sa place, redonnant à la voiture son luxe d’antan.
Le travail sur l’intérieur n’a pas été moins difficile.
Malgré toutes les difficultés, la capote a été recréée avec un maximum d’authenticité. La teinte du tissu était peut-être légèrement différente de l’original, mais l’esthétique générale et le design sont restés fidèles à l’aspect historique de la voiture.
